Le département Vie de prière publie régulièrement un bulletin intitulé Dieu répond toujours et présentant des témoignages sur l’action de Dieu dans notre vie. Voici deux de ces témoignages :
Dieu m’apprend à lui faire confiance !
« Comment concilier le sabbat et les études ? De nombreux jeunes adventistes du 7ème jour se sont sûrement déjà posé cette question tout comme moi. J’ai toujours lutté pour pouvoir garder mes sabbats que ce soit au cours de mes études ou dans mon travail. Le plus dur était d’expliquer mes absences du samedi, car certaines personnes peuvent être assez hostiles à ce sujet.
Aujourd’hui, j’ai 20 ans, je fais des études d’ingénieur et depuis 2 mois, je cherche un boulot. Le constat après avoir passé une dizaine d’entretiens : je suis bloquée parce que je veux conserver ce précieux jour mis à part. Cette expérience m’a fait comprendre que c’est quand tout semble aller au plus mal, que le Seigneur est le plus proche de nous.
Lors de mes entretiens, je m’en remettais aux promesses de Dieu et sans me laisser démotiver, je priais avant et après chaque entretien en remerciant Dieu quoi qu’il advienne, succès ou échec. Mon attitude a été insufflée par ma conviction qu’il faut faire confiance à l’Éternel qui attend patiemment que l’on saisisse sa main. Le Seigneur veut que nous surmontions nos épreuves, en se reposant
sur lui, ce que Satan déteste ! Je me suis donc accrochée à mon Dieu en étant sûre que tout irait bien.
Le message que je souhaite transmettre est que j’ai la conviction que Dieu apprécie nos efforts quels qu’ils soient et qu’il ne nous abandonne jamais. Nous ne pouvons pas imaginer la joie de notre Créateur lorsque ses enfants décident de lui faire pleinement confiance. Pour finir, j’aimerais vous annoncer que pas plus tard que la semaine dernière, j’ai décroché un petit job qui me laisse mes sabbats et j’ai aussi été admise dans une école qui ne fait pas cours le samedi ! Alléluia !
Notre Dieu veille sur nous et nous accorde ses bénédictions. Je n’en douterai jamais !
Le Seigneur guide mes choix !
« Ce jour-là je me sentais bien, un début de soirée ordinaire. Le feu du piéton était vert et lorsque je me suis engagée, une voiture qui prenait un virage a surgi. J’ai été percutée sur le côté et me suis retrouvée sur le capot de la voiture. Quand elle a freiné, elle m’a déportée quelques mètres plus loin. Juste après le choc, je suis restée à genoux et j’ai fait une courte prière : « Merci Seigneur, parce que tu me gardes en vie. »
En rentrant chez moi, j’ai encore prié en disant : « Merci Seigneur de me garder en vie, Seigneur je te prie pour cet automobiliste afin que tu le bénisses et qu’il n’ait pas de séquelles liées à cet accident, et je te prie aussi pour moi afin que je n’en aie pas non plus, ni physiques, ni psychologiques, au nom de ton fils Jésus-Christ et pour ta gloire, amen ». Aussi durant mon trajet retour, j’ai constaté que je me sentais en paix et cela même juste après l’accident. Je ne me sentais pas angoissée, ni inquiète, ni stressée, je n’avais pas peur. Cela m’a fait drôle, car je me disais que
j’aurais pu mourir.
Quelques heures plus tard chez moi, je ressentais des douleurs. Je me suis inquiétée pensant avoir trop minimisé les risques ; puis le mot argent m’est venu à l’esprit. Et si je portais plainte, je pourrais en tirer des bénéfices ?
On m’a amenée à l’hôpital. Verdict : quelques hématomes dus au choc. Durant ce laps de temps à l’hôpital, j’ai fait une introspection sur moi-même, les sentiments liés à la peur et à l’appât du gain avaient complètement disparu, je me sentais de nouveau apaisée. Quand l’automobiliste a demandé des nouvelles de ma santé, alors j’ai pensé à une parabole que j’avais lue, il y a quelques mois de cela, dans Matthieu 18. 23-35. « Combien de fois pardonnerais-je ? » […] J’ai alors réalisé tout le bien que Dieu m’avait fait à travers cet accident et qu’il me fait au quotidien : il m’a gardée en vie, il m’a protégée, je n’ai pas eu de blessures graves, chaque fois que je prie et que je lui demande de me pardonner, il me pardonne, il est compatissant… Ainsi, à mon tour que devrais-je faire pour cet automobiliste ? Il m’a semblé logique de lui pardonner, de lui souhaiter la paix et la bénédiction que j’avais reçues, car comme cet automobiliste, il m’arrive de commettre des erreurs et j’aime l’idée que, quand cela arrive, Dieu me pardonne.
Je lui ai donné de mes nouvelles par sms et je me souviens d’une des phrases que j’ai écrites pour conclure « Soyez en paix, que Dieu vous bénisse et vous donne sa paix au nom de Jésus. Bonne soirée. »