Résumé de la prédication du pasteur Elioenay Rajaonah du 9 mars 2019
Maranatha : Viens, Seigneur Jésus ; ce message est porteur d’espérance.
Espérons-nous vraiment le retour de Jésus ?
Dans 2 Timothée 4.8, Paul dit : « Désormais la couronne de justice m’est réservée ».
Aimer son avènement, aimer le retour de Jésus, qu’est-ce que cela implique ?
Arrêtons-nous sur 3 exemples de personnes qui ont aimé le retour du Christ :
Jésus lui-même
Jésus dit dans sa prière : « Que ton règne vienne ». Car c’est à ce moment qu’il verra qu’il n’a pas versé son sang pour rien, qu’il rencontrera son Eglise et qu’il montrera ce qu’il a préparé de merveilleux.
Imaginez qu’un père revienne dans un endroit merveilleux et qu’il ne trouve pas son enfant. Jésus a hâte de revoir ses enfants face à face. Ce monde est de plus en plus mauvais et la solution, c’est le retour de Jésus.
Aujourd’hui, ce ne sont que guerres, problèmes économiques, etc. Jésus avait raison de dire dans Luc 21.25 et 26 : « Il y aura de l’angoisse chez les nations ».
Le retour de Jésus est la véritable solution à long terme. Jésus désire revenir le plus rapidement possible comme il est dit dans Apocalypse 22.20 : « Celui qui atteste ces choses dit : oui, je viens bientôt ». Jésus l’a dit, qu’en est-il pour nous ?
Les premiers chrétiens
Le retour de Jésus était dans le cœur des premiers chrétiens. Pour se saluer, ils disaient : Maranatha (Viens, Seigneur Jésus).
Dans 1 Corinthiens 4.4 et 5, il est dit : « Si quelqu’un n’aime pas le Seigneur, qu’il soit anathème ». Cela a influencé leur vie.
Dans Philippiens 4.4 et 5, il est dit : « Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur car il est proche ».
Les premiers chrétiens insistaient sur la préparation chaque jour de leur cœur au lieu de s’alarmer sur les signes des temps. Ils désiraient rencontrer celui qu’ils aimaient. Cette espérance était dans leur cœur chaque jour.
Le malin veut créer des sensations autour du retour de Jésus en annonçant des dates sur la fin du monde ou sur le retour de Jésus.
Au lieu de courir après les signes des temps, ayons d’abord la joie de rencontrer notre Seigneur. En ce qui concerne son retour, seul le Père connait le jour et l’heure.
L’apôtre Jean
C’est celui qui a reçu en détail la vision du retour de Jésus à l’île de Patmos. Il a vu la défaite de Satan, la splendeur de Jérusalem et la multitude. Il a vu le bonheur des êtres humains. Il a vu que Dieu serait au milieu de nous. Rien n’est inégalable.
A la place de Jean, ne dirions-nous pas : Reviens, Seigneur ?
Jean a hâte de voir son Maître. Si nous chérissons ce retour, moment de libération totale, nous serons sauvés de l’absence de tout péché.
Le retour de Jésus est une bonne nouvelle et une belle espérance ; c’est pourquoi Jésus disait : Je viens bientôt. Les premiers chrétiens se saluaient en prononçant : Maranatha, et l’apôtre Jean : Viens, Seigneur Jésus.
Gardons ces mots présents à notre esprit et soyons des agents actifs au service de Dieu.
Cultivons ces 3 P : Passion – Penser – Préparer.